Autour du 8 mars, Journée internationale du droit des femmes, plusieurs partenaires du GREMMOS – Cultures d’Afrique ; Assa Azekka ; la Cinémathèque et la librairie Lune et l’autre –  proposent films et rencontres autour de combats menés par des femmes pour leurs droits et leurs libertés

Jeudi 6 mars à 14h3O et 19h à la Cinémathèque – « Haut et Fort » film de Nabil Ayouch (2021) : encouragés par leur nouveau professeur dans un centre social d’un quartier populaire de Casablanca des jeunes vont tenter de se libérer du poids de certaines traditions pour vivre leur passion et s’exprimer à travers la culture hip hop…

Vendredi 7 mars à 16h à la Maison de l’emploi, 18 avenue Augustin Dupré, Saint-Etienne, le CIDFF 42 et Assa Azekka vous invitent à une rencontre – « Le combat des femmes de chambre de l’hôtel ibis Batignolles pour leurs droits ». Mouvement social de longue haleine (juillet 2019-mai 2021) la grève des femmes de chambre de l’hôtel Batignolles qui manifestaient chaque jour en tapant sur des casseroles et des tambours a eu également une dimension féministe et antiraciste. 

L’inscription est gratuite mais obligatoire au 04 77 01 33 55

Vendredi 7 mars à 20h50 au Méliès Jean Jaurès – Les filles du Nil,film de Nada Siyadh et Ayman el Amir en avant -première et en présence des réalisateurs : dans un village du sud de l’Égypte, un groupe de jeunes filles coptes se rebelle en formant une troupe de théâtre de rue. Les Filles du Nil suit pendant 4 ans le voyage de ces jeunes femmes en quête de liberté, rêvant de devenir comédiennes, danseuses et chanteuses.

Samedi 8 mars  à 18h à la Cale /Amicale laïque du Crêt de Roch, 16 rue Royet –  Rencontre et lectures avec Souad Labbize, poétesse et traductrice algéro-française

Mardi 11 mars à 19h à la Cinémathèque – L’argent, la liberté, une histoire du franc CFA film de Katy Lena Ndiaye : 1960 amorce la fin des empires coloniaux sur le continent africain… en théorie seulement. Le franc CFA, monnaie rattachée au Trésor Français depuis ses origines, circule toujours sur la quasi-totalité de ses anciens territoires au Sud du Sahara.  Quatorze Etats conservent encore ce curieux héritage. Quelles en sont les raisons ? Au bout de l’Histoire, il y a la Fable.